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Le stress, la migraine, les douleurs articulaires, le mal de dos, les allergies… les maux des salariés en entreprise est un sujet de plus en plus présent depuis une vingtaine d’années. Les causes sont multiples : difficulté à se faire sa place, précarisation des salariés, accroissement de l’utilisation permanente des moyens de communication, incertitudes sur l’avenir. Ils ont des répercussions importantes sur les organisations. Les médecines douces viennent aujourd’hui pallier ce phénomène.

 

L’entreprise fait face à de nombreuses maladies à causes psychiques et physiques ; elles entraînent des répercussions négatives sur la santé des salariés, vient déranger le fonctionnement de l’entreprise. Il crée de l’absentéisme et du turnover, une mauvaise image de l’entreprise qui a alors du mal à recruter des collaborateurs de bon niveau ; il multiplie les accidents du travail, fait décroître les capacités d’innovation et de prise de décision de ses salariés ; la démotivation guette et avec elle, le risque de malfaçons ou celui de rendre un service de médiocre qualité aux clients augmente. Ainsi, un climat social négatif entraîne de nombreuses conséquences sur le plan économique qui ne fait qu’accroître le stress ambiant. Bref, il s’agit de rompre ce cercle négatif dans lequel s’enferment trop souvent les organisations : entreprises privées comme organismes publics ; car oui, le stress n’est pas l’apanage du secteur privé. L’hôpital en est un exemple flagrant, mais partout, dans les Ministères ou les Préfectures, dans l’enseignement comme dans certaines casernes de pompiers ou des commissariats, des établissements vivent la permanence du stress… De plus en plus d’organisations font appel aux médecines douces pour améliorer la vie des salariés.

Pourquoi la médecine douce ?

La médecine douce – naturopathie, hypnothérapie, sophrologie, massages, osthéopathie… – se confirme comme mode de soin et surtout de prévention auprès des français depuis plusieurs années.

Elles sont sollicitées d’abord pour le mal de dos et le stress. La médecine douce a le vent en poupe parce que contrairement à l’allopathie, elle n’a pas d’effets secondaires désagréables : les français se méfient de plus en plus de médicaments qui soignent un mal et en déclenche un autre. Basées sur des méthodes de soins naturelles, les médecines douces proposent une façon de soigner et de gérer son capital santé par des traitements naturels et une philosophie qui aborde le corps dans sa globalité.

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Les mutuelles, de bons interlocuteurs

Malheureusement, la plupart de ces médecines douces ne bénéficie d’aucune prise en charge de la part de l’Assurance Maladie. En revanche, Les mutuelles prennent de plus en plus souvent en charge certaines de ces thérapies. Celles-ci ont fait l’objet d’une étude approfondie afin de déterminer la fiabilité de leurs pratiques ainsi que leur bienfait pour la santé des patients. La prise en charge de ces thérapies non conventionnelles permet aux salariés des entreprises de bénéficier de soins reconnus, à moindre coût et en toute sécurité. Les CHSCT aujourd’hui, et les CSE demain peuvent servir d’intermédiaires entre les praticiens de médecine douce, les mutuelles et les responsables RH pour mener à bien des actions soit ponctuelles soit de long terme, selon les risques associés aux professions présentes dans l’entreprise.

Plus d’info : https://influence-ce.fr/?job_listing=reflex-osteo

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